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Rencontre handicap / Actualité du handicap

Préparer un marathon sans courir, méthode bluffante mais pas magique - idylive -

2013-02-23 17:35:17.637

Le marathon. Un cauchemar de ceux pour qui courir un simple jogging est déjà une aberration. Quarante-deux kilomètres à manger. Quand un coureur amateur en vient à bout, après trois ou même quatre heures de foulées, il peut être satisfait – le record du monde est détenu par un Kényan, Patrick Makau. Il l'a couru en deux heures et trois minutes. Vu l'effort à accomplir, on se dit que pour s'y préparer, il vaut mieux courir fréquemment avant le jour J. Michel Delore, journaliste, coureur et auteur de « Courir le marathon », le confirme : « Il faut s'aménager trois séances de course par semaine, d'une durée comprise entre une heure trente et deux heures. Et de temps en temps, toutes les trois semaines, courir trois heures en alternant marche et course, ce qu'on appelle de la “rando-course”. Ce n'est pas l'avis de Brian MacKenzie. Ce triathlète et coach américain fait parler de lui aux Etats-Unis avec sa méthode, le “CrossFit Endurance” (CFE) ou l'endurance par le CrossFit, dont Rue89 vous parlait déjà il y a un an. Avec cette méthode, le futur marathonien ne court jamais de longues distances pour préparer ses 42 kilomètres. Et Brian MacKenzie promet des performances améliorées en vitesse et en endurance. “Ce mec est payé pour entraîner ?” Dans le milieu des coureurs, certains accusent l'homme d'être un clown. Sur LetsRun.com, un forum de runners, les internautes se moquent de lui et trouvent ses idées “hilarantes”. “WOW. Ce mec est payé pour entraîner des gens ? Oh mon dieu !” L'intéressé dit sa méthode révolutionnaire. En quoi consiste-t-elle donc ? A s'entraîner moins longtemps mais plus durement. En janvier, dans un article rédigé à la première personne, le journaliste américain Christopher Solomon a raconté dans le magazine Outside son test de la méthode. Il a fait des “windsprints”, c'est-à-dire qu'il a couru très très vite sur de petites distances comme dans cette vidéo : il a fait des pompes ; il a soulevé des haltères ; il a balancé un poids dans tous les sens et au-dessus de sa tête, presque comme la dame dans la vidéo ci-dessous : Il a fait des abdos ; et puis, il a fait des enchaînements de mouvements étranges dit aussi “burpees” en anglais, comme ça : Moins de temps à s'entraîner mais des séances plus intensives donc, c'est le leitmotiv de Brian MacKenzie. “J'étais un junkie des longues distances” Solomon raconte un séminaire avec le coach : “Il commence par dire : ‘Avant, j'étais un junkie des longues distances.' Il se tient devant nous comme s'il était à une réunion d'alcooliques anonymes et qu'il se confessait.” Pour défendre sa méthode, MacKenzie a des arguments forts et simples. Courir régulièrement sur de longues distances entraîne selon lui blessures, ennui et perte de temps. De fait, à la fin de son entraînement et de son marathon, le journaliste Solomon écrit qu'il a franchi la ligne d'arrivée sans une seule blessure, alors même qu'il ne courait plus de marathons justement parce qu'il se blessait trop. Nouvelle preuve de succès : pendant ce marathon, Solomon n'a même pas connu ce que les coureurs appellent “le mur” – au milieu de la course généralement, le corps ne veut plus courir. Impossible de continuer. Solomon a finit son marathon en 3h39 Enfin, le journaliste a fini sa course en 3h39, ce qui était son record personnel. Brian MacKenzie a lui aussi des faits à exposer pour défendre sa méthode. En 2007, il a couru un ultra-marathon très effrayant. Le Angeles Crest 100 est un trail de 161 kilomètres. Pour se préparer à cette folie, Brian MacKenzie n'a couru “que” 20 km par semaine, plus ou moins. Il a surtout passé six heures par semaine à faire des exercices. Le jour J, il était 34e sur 89 coureurs, et il se sentait très bien. Des études vont dans le sens de sa méthode. En 2006, des chercheurs de l'université de McMaster à Ontario ont fait une expérience. Ils ont divisé un groupe de 16 hommes en deux. Le premier groupe devait faire du vélo d'appartement a une vitesse modérée, pendant deux heures, six fois en deux semaines ; Le second groupe devait faire des sprints de trente secondes dans des séances qui duraient quinze minutes. Au final, les chercheurs ont été surpris de constater que les progrès en terme d'endurance, effectués par chacun des deux groupes, étaient très proches. Ce qui amène l'un des chercheurs à déclarer aujourd'hui : “Ce qui était fou dans cette étude, c'est qu'elle montrait que pour améliorer vos performances d'endurance, vous n'aviez qu'à faire des sprints.” “Panne d'essence” : le corps ne veut plus Il n'y a pas de conte de fées : la méthode ne fonctionne pas pour tout le monde. Robin Clevenger, une coureuse confirmée, raconte l'une de ses pires performances au journaliste Christopher Solomon. En 2009, elle suivait la méthode CFE et elle a eu comme une panne d'essence pendant une course : “Après une heure et demie – ce qui était la durée maximum de mes courses d'entraînement – mon corps m'a dit : ‘Tu sais, c'est terminé, là'.” La méthode révolutionnaire n'a pas fonctionné pour elle. Au téléphone, Michel Delore s'exclame : “Brian MacKenzie, il est bien gentil, mais il n'a rien inventé non plus. Les gens qui se préparent au marathon passent déjà du temps en salle, à faire du gainage notamment. On appelle d'ailleurs ça la préparation physique général (PPG).” Le journaliste spécialiste du marathon juge qu'une répartition différente du temps d'entraînement est plus judicieuse. “Pour s'entraîner à un marathon, il faut passer trois quarts du temps de son entraînement à courir, et le reste peut, en complément, être du renforcement musculaire, du gainage, etc.” Enfin, il y a tout de même un gros inconvénient à la méthode MacKenzie : que fait-il du plaisir ? Quand on court, on se promène, on écoute de la musique parfois, on réfléchit, on s'absente. Ressent-on ces mêmes sensations d'évasion en salle de gym ? J'en doute. D'ailleurs Solomon raconte comment il a terminé son test : “En s'octroyant une longue, lente et délicieuse excursion.”
Source : http://www.rue89.com/rue89-sport/2013/02/23/preparer-un-marathon-sans-courir-methode-bluffante-mais-pas-magique-239836
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Retour sur Rencontre-Handicap

Portraits : ils ont quitté la ville pour vivre à la ferme - idylive -

2013-02-23 07:13:50.306

22 février 2013, par Soren Seelow
Paysans des villes, la tentation du retour à la terre
Ils étaient chimiste, coiffeuse ou agent immobilier... ils élèvent désormais des vaches, des cochons et des chèvres. On les appelle les "hors cadre familial". Face au déclin démographique de la population paysanne, ces jeunes agriculteurs assurent la survie de nombreuses petites exploitations. Nous sommes partis à leur rencontre dans le Gers, les Hautes-Pyrénées et les Pyrénées-Atlantiques.

Dans une ferme du Gers. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
"Il y a cinq ans, je n'avais encore jamais vu de cochon." Les bottes ancrées dans la boue, Nicolas Soisson déverse un mélange de petit lait et de céréales dans les mangeoires. Un grognement tonitruant traverse l'air humide de l'hiver gersois. En bas de la pente, six énormes porcs de 200 kilos s'élancent, traversent leur parcelle à vive allure et plongent le groin dans la mixture.
Rien ne prédestinait cet ingénieur en chimie de 36 ans, parisien, fils de médecins généralistes, à se retrouver un jour à la tête d'une exploitation agricole. Après des études de chimie à Montpellier, un doctorat à Belfast et un post-doctorat à Baltimore, Nicolas Soisson travaillait il y a encore six ans dans un laboratoire pharmaceutique au Mans. Il gagnait 30 000 euros par an. Sa femme Véronique, ingénieur comme lui, faisait carrière dans les cartes à puces.
A l'aube de leurs 30 ans, la vie des deux ingénieurs bascule. Le couple, qui vient d'avoir une petite fille, s'interroge. Leur réussite sonne creux. Leur vie de famille s'étiole dans les trajets quotidiens. Le couple a un nouveau projet de vie : il produira désormais du fromage de vache bio et élèvera des cochons.
Nicolas Soisson apporte à manger à ses porcs dans son exploitation de Troncens, dans le Gers. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
LES "HORS CADRE FAMILIAL"
La reconversion inattendue de ce jeune couple dépasse le simple cadre de l'aventure humaine. Nicolas appartient à une catégorie de nouveaux paysans devenue cruciale pour la survie de nombreuses petites exploitations : on les appelle les "hors cadre familial". Ces jeunes agriculteurs, qui ne reprennent pas l'exploitation de leurs parents, ont souvent vécu en ville, travaillé comme employés, et n'ont pour certains qu'un lien très lointain avec le travail de la terre (1).
Pendant huit ans, Angélique Abadie-Couture a coupé, coloré, permanenté des chevelures dans différents salons de coiffure. Cette jeune mère de famille était alors loin de s'imaginer qu'elle se retrouverait un beau matin de février agenouillée dans la paille à tenir la pince du vétérinaire appelé en urgence pour pratiquer une césarienne sur une de ses chèvres.
Angélique Abadie-Couture donne du foin à ses chèvres à Ossun, dans les Hautes-Pyrénées. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
De son passé de coiffeuse, cette jeune agricultrice de 28 ans ne retient qu'une vague impression d'ennui : "Je n'étais pas épanouie. Je ne faisais qu'attendre les week-end." En 2008, elle décide de rompre son dernier CDI. Elle passe le brevet professionnel responsable d'exploitation agricole (BPREA), une formation necéssaire pour bénéficier des aides à l'installation, puis suit un stage chez un chevrier. En février 2009, elle vide son livret A (1 500 euros) pour acheter 28 chevrettes d'un mois et deux boucs, vend sa Peugeot 206 pour construire sa première salle de traite et emprunte 80 000 euros pour financer les bâtiments et la fromagerie.
Trois ans après son installation, la jeune mère de famille continue de dépendre des revenus de son mari, les 35 heures ne sont qu'un lointain souvenir et elle n'a plus ni week-end ni vacances. "Mais je suis plus libre aujourd'hui. J'ai la satisfaction de maîtriser toutes les étapes de mon projet, de la traite à la vente des fromages au marché ou sur mon site Internet".
UN RÉSERVOIR STRATÉGIQUE
Si le nombre d'installations d'agriculteurs a chuté de moitié au cours des quinze dernières années (voir graphique), la part des "hors cadre familial" n'a, elle, cessé de progresser. Ces nouveaux paysans représentent aujourd'hui le quart des quelque 10 000 installations annuelles de jeunes agriculteurs, dont ils constituent un réservoir stratégique.
La chute de la natalité et l'absence de vocations dans les familles paysannes ne permettent plus de freiner le déclin de la population agricole : en Midi-Pyrénées, 60 % des exploitations sont dirigées par des agriculteurs de plus de 60 ans, parmi lesquels seuls 32 % ont un successeur. "Même si tous les enfants d'agriculteurs s'installaient, il n'y en aurait pas assez pour reprendre toutes les exploitations", résume-t-on à la chambre régionale d'agriculture.
Evolution du nombre d'installations aidées en midi-Pyrénées de 1991 à 2011
Seuls deux départs en retraite sur trois sont aujourd'hui compensés par de nouvelles installations. Les exploitations sans repreneur partent à l'"agrandissement", rachetées par de plus grandes, et participent à l'uniformisation des campagnes et de la production. Entre 2000 et 2010, 26 % des exploitations ont ainsi disparu du paysage français. C'est ce qui a failli arriver l'an dernier à la parcelle de Jacques Balesta, 77 ans, qui s'apprêtait à partir en retraite sans repreneur après des années de recherche infructueuse.
C'est finalement un agent immobilier venu de la ville, Nicolas Maleigh, qui reprendra son exploitation dans les Pyrénées-Atlantiques. Le jeune homme a alors 31 ans, "le moment d'être autonome". Il plaque son emploi et pose ses valises entre Urdos et le plateau de Lhers. Il repense entièrement l'exploitation pour se lancer dans une niche : le lait de jument et d'ânesse biologique. Il le fournit à des laboratoires de cosmétiques et vend lui-même ses gellules, réputées pour soigner les problèmes de peau, sur les marchés. Comme Angélique, Nicolas a une approche globale de son projet, qui s'est traduite par la création d'un atelier de transformation et d'un site Internet pour la vente directe. Après quelques mois d'activité, il est encore en observation, mais pense que son premier exercice sera équilibré.
Les juments de Nicolas Maleigh en estive dans les Pyrénées.
Malgré les difficultés inhérentes aux métiers de la terre, le taux d'abandon des jeunes agriculteurs, tous profils confondus, demeure raisonnable comparés à d'autres secteurs. Cinq ans après leur installation, 88 % des jeunes agriculteurs bénéficiant d'une aide ont pérennisé leur projet (le taux de réussite est cependant quatre fois moindre pour les installations non aidées, qui représentent près de 40 % des projets).
UNE "VISION INNOVANTE" DE L'AGRICULTURE
Dans une étude de juin 2011 sur la diversité du monde agricole, le ministère de l'agriculture s'est intéressé aux singularités de cette nouvelle population, qui pourrait constituer 30 % des agriculteurs en 2020. "De par leur passé, les hors cadre familial font plus que véhiculer des visions innovantes du monde de l'agriculture : ils le transforment de l'intérieur, constate le rapport. Ils s'établissent sur des surfaces moyennes plus petites, s'orientent vers des niches de production, comme l'agriculture biologique, et assurent souvent eux-mêmes la transformation et la vente directe."
Christophe Masson à côté d'un de ses bœufs mirandais dans son exploitation à Beaumarchés, dans le Gers. © Antonin Sabot / LeMonde.fr
A la différence des repreneurs d'exploitations conventionnelles, héritiers de décennies d'agriculture intensive, ces nouveaux paysans sont souvent porteurs d'une vision très personnelle de leur nouveau métier. Passés par la ville, ils ont été consommateurs avant d'être producteurs. De son expérience citadine, Christophe Masson, technicien des hôpitaux militaires pendant dix ans à Toulon, a ainsi gardé une profonde aversion pour la malbouffe et une approche "environnementaliste" du travail de la terre.
A 38 ans, ce citadin a décidé de s'installer sur les terres de son grand-père maternel, celles où il passait ses week-end enfant, dans le Gers. "On a repris un désert agricole", résume-t-il. Le jeune homme se lance dans l'élevage de races locales (vaches mirandaises, porcs noirs de Bigorre, oies de Toulouse, poules noires de Gascogne…) menacées de disparition par le développement de l'agriculture intensive. A travers une approche agro-écologique, il recrée l'écosystème de son grand-père, mais se défend de toute tentation passéiste.
Membre du réseau "slow food", il incarne une vision de l'agriculture à taille humaine, centrée sur la qualité de la viande, le bien-être animal et la préservation de l'environnement. Ses 25 vaches paissent sur pas moins de 50 hectares de prairie, une anomalie dans le paysage gersois, qui fut un des premiers à moderniser son agriculture. "Quand on est passé par la ville et qu'on voit la merde qu'on y mange, on ne peut pas avoir envie de la produire", résume-t-il.
(1) Selon les premiers résultats d'une étude sur les installations "hors cadre familial" à paraître cette année, un "hors cadre" sur deux n'a aucun lien avec le monde agricole, "ni parents, ni grand-parents, ni oncles". Leur nombre serait par ailleurs en hausse depuis quelques années. Cette étude est pilotée par le syndicat des Jeunes agriculteurs, la Chambre d'agriculture et le Réseau rural français.
À propos de Soren Seelow
Après un début de carrière sur les rives du Tonlé Bassac, fleuve déconcertant dont le cours s'inverse deux fois l'an, au sein de la rédaction du regretté « Cambodge soir », j'ai rejoint en 2008 celle du Monde.fr. Ayant développé un tropisme marqué pour les sujets de société, j'ai entre autres réalisé un webdocumentaire sur la prison, « Le Corps incarcéré ».
Source : http://www.lemonde.fr/economie/visuel/2013/02/22/portraits-ils-ont-quitte-la-ville-pour-vivre-a-la-ferme_1834997_3234.html
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Free et Bouygues Telecom condamnés pour dénigrement mutuel - idylive -

2013-02-22 22:03:28.456

Le groupe Iliad (Free) et Bouygues Telecom ont chacun été condamnés pour avoir dénigré l'autre, selon une décision rendue vendredi par le tribunal de commerce de Paris.
La principale condamnation est infligée à Free, qui devra verser 25 millions d'euros de dommages et intérêts à Bouygues Telecom, a indiqué à l'AFP la direction de Bouygues Telecom.
Cependant, Iliad, qui avait également déposé plainte pour le même motif contre son concurrent, a obtenu parallèlement gain de cause et Bouygues Telecom a ainsi été condamné à lui verser 5 millions d'euros, selon la même décision du tribunal.
Bouygues Telecom avait saisi la justice en décembre dernier contre Free Mobile pour «dénigrement et concurrence déloyale», cette assignation «répondant à une campagne de dénigrement lancée par Free lors de son lancement commercial», avait alors précisé un porte-parole de la filiale du groupe de Martin Bouygues.
En janvier 2012, lors de la conférence de lancement de ses deux forfaits mobiles avec des tarifs défiant toute concurrence, Xavier Niel, PDG d'Iliad, maison mère de Free, avait fait diffuser un petit film parodique, moquant nommément les dirigeants des opérateurs concurrents et leurs affirmations tenues au fil des années concernant leur stratégie et leurs tarifs. Il avait également utilisé des termes tels que «pigeons» ou «vaches à lait» pour qualifier les clients des trois opérateurs existants.
Vendredi, outre les 25 millions d'euros de dommages et intérêts infligés à Free, le tribunal de commerce lui a interdit «d'utiliser des termes dénigrants à l'encontre de Bouygues Telecom, sous astreinte de 100.000 euros», précise un communiqué de Bouygues Telecom.
Par ailleurs, «Bouygues Telecom a été condamnée, pour quelques propos isolés tenus en réponse à la communication agressive et massive de Free, à 5 millions d'euros de dommages et intérêts», ajoute le communiqué.
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Source : http://www.liberation.fr/economie/2013/02/22/free-et-bouygues-telecom-condamnes-pour-denigrement-mutuel_883848
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Retour sur Rencontre-Handicap

2013-02-21 03:19:16.169

JEUX VIDEO – Le constructeur joue gros, alors qu'il doit affronter la concurrence des smartphones et des tablettes...
2h05: C'est fini, pas de prix, pas de design et une date de sortie pour les fêtes 2013! Merci de nous avoir suivis, on se retrouve très vite
2h00: BUNGIE! Destiny! YES Bungie, ce sont les papas de Halo, revendu à Microsoft pour voguer vers de nouvelles aventures. Le résultat : Destiny, un shoot dans un univers perpétuel. Pas vraiment un MMO, pas juste un titre collaboratif, et un design ambitieux . Il sera dispo sur PS4 PS3 et sans doute Xbox 360 et 720 1h55: Diablo III sur PS3 et PS4 On a cru une seconde à un titre original #tristesse (Désolé pour le manque de mise en forme, on est passés sur smartphone et notre back-office de 1997 n'est pas très touch friendly) 1h45: Ubisoft est là et Watch Dogs sortira aussi sur PS4 Yves Guillemot est sur scène et parle toujours aussi mal anglais. Watch Dogs, le jeu qui nous avait bluffés à l'E3, sortira aussi sur PS4. Dans ce titre action/aventure parano, on peut hacker les gadgets de n'importe qui. Graphiquement, la ville est vivante mais on n'a pas totalement une claque next gen (sans doute car le titre a été porté)
1h40: Square prépare un Final Fantasy sur PS4 Il sera présenté à l'E3 18h35: Demo de Square Enix Encore une démo technique mais qui montre un gros potentiel. Il y a une eclipse, une fille en robe rouge, une hyène et un dragon. Du pur Square over ze top . 1h30: Capcom présente son moteur Panta Rhei Avec la jeu baptisé Deep Down, un jeu d'action/aventure médiéval. ET UN DRAGON. Dommage que le design soit presque aussi moche qu'un vieil Elder Scroll, mais le moteur a du coffre. Test depuis le smartphone 1h30: Démo indie assez poétique Pour un jeu qui permet de scuplter "ses rêves" et de faire bouger les personnages avec le Playstation Move. 1h20: Quantic Dream promet l'ère de l'émotion
Démo technique bluffante des Frenchies de Quantic Dreams. Ce n'est pas tant la qualité approchant le photoréalisme de ce visage en 3D temps réel d'un vieil homme qui fait rêver. Mais la lumière dans ses yeux, ses froncements de sourcils n'ont enfin plus cet aspect plastique/zombie. Attention toutefois, ici toute la puissance de calcul est utilisée pour un visage. On n'aura pas un tel niveau dans un jeu complet avec un vaste univers.
1h10: Plus de jeux On a aperçu: - Driveclub, une simu qui permet de jouer facilement avec ses amis. Graphiquement, ce n'est pas complètement renversant. - inFamous Second Son: la franchise action de la PS3 mise sur la parano de Big Brother. On voit surtout de la vidéo, et un peu de gameplay à la fin. Dur de juger. - The Witness: un puzzle game cartoon dans un monde assez ouvert. Bon, c'est pas Metal Gear Solid 5.
0h55: Killzone Shadow Fall poutre sévère!
Ok, première claque graphique. Pas tant pas les textures que par les effets spéciaux: fumée, lumière, explosions... C'est un spectacle total qui ferait plaisir à Michael Bay, avec une architecture de malade. Les animations passent au niveau supérieur. Maintenant on veut voir un Assassin's Creed next gen.
0h45: On n'est pas couchés
J'espère que vous avez préparé le café et la redbull. Selon un responsable de Sony France, la conférence doit durer 2h30 o_O. Ma batterie de portable sera morte bien avant. On se retrouvera sur Twitter en cas de besoin.
0h35: Un jeu PS4 streamé sur la PS Vita
Là on commence à passer aux choses sérieuses: votre copine veut regarder la télé? Pas de problème, Gaikai permet de jouer à un jeu PS4 sur la PS Vita en streamant la vidéo. Le service de streaming de Gaikai est en 720p, donc cela suffit pour la PS Vita. A voir si cette solution sera adaptée sur smartphone et tablette.
Attention, on ne sait pas pour l'instant si cela concerne tous les jeux ou seulement certains. Et si c'est seulement via Wifi ou également en 3G.
0h30: David Perry est là pour parler streaming
David Perry, c'est le papa d'Aladdin et Earthworm Jim, une légende de mon enfance. C'est surtout le patron de Gaikai, une enreprise de cloud gaming/streaming que Sony a acheté 300 millions d'euros cet été.
Première intégration de Gaikai: des démos de jeu seront disponibles en streaming sur le Playstation Store. Traduction: on peut jouer en moins de 30 secondes, sans devoir installer une démo de 20 Go: tout est exécuté sur les serveurs de Gaikai et streamé jusqu'à votre salon. Cela permet aussi de regarder d'autres gamers jouer. Perry annonce un partenariat avec Facebook et Ustream.
0h30: La PS4, une console sociale
Tout le hub social a été revu pour englober tout l'écosystème: PS4, PS Vita, tablettes, smartphones, smart TV, c'est la grande convergence.
0h25: Knack, premier nouveau jeu original
Cerny présente une nouvelle licence, Knack. Un jeu d'action/aventure de Sony Computer Entertainment. Graphiquement, c'est très cartoon, donc difficile de juger la puissance. Le perso principal est un sorte de bonhomme de bois qui peut devenir gigantesque en ajoutant des pièces. Le jeu a l'air plutôt sympa mais pas vraiment le «killer game» dont on rêve pour le lancement.
0h20: Le moteur d'Unreal 4 en temps réél
Petite démo technique avec le celèbre moteur et une scène calculée en temps réel. Solide, mais ce n'est qu'une démo technique.
0h20: Un nouveau dual shock avec un touch pad
Le design est un peu moins moche que les fuites. Sony a intégré un touchpad au milieu de la manette (pour le casual et une navigation plus simple). Il y a aussi
- un bouton partager
- une barre lumineuse
- un capteur qui peut communiquer avec un appareil qui ressemble beaucoup à Kinect (avec 2 caméras)
0h15: La PS4, cousine du PC

"Pour la PS4, on savait que ses charactéristiques seraient importantes", explique Cerny. Mais selon lui, ce qui compte aujourd'hui, c'est de se connecter à un écosystème fluide et de travailler avec les développeurs sur les services". La PS4, c'est "by game creators for game creators". traduction:
- la console a une architecture proche du PC avec un processeur X86 (AMD)
- une énorme carte graphique
- 8 Go de RAM
0h10: Et la Playstation 4 s'appelle PLAYSTATION 4
On ne l'avait pas vu venir, ce nom. Mark Cerny arrive sur scène, un ancien d'Atari qui a supervisé le développement de la PS4.
Sony n'a pas encore montré la console.
0h10: Le futur du gaming
Blabla marketing, "consumer centric", une nouvelle manière de jouer avec une plateforme moderne et sociale. On veut voir la bête !
0h05: Des syndergies la PS Vita et le salon
La PS Vita fait un four pour l'instant, et Sony va jouer gros sur la complémentarité avec la PS4 (notamment sur le streaming)
0h05: Andy House in the house (sorry)
La patron de Playstation monde est sur scène et explique que Sony joue gros.
0h00: C'est parti!!!!
Avec un clip best of de l'univers Playstation. On a vu le nom "PS" et certains se demandent si Sony va abandonner son chiffre comme Apple avec l'iPad. Car 4, ca porte malheure en japonais pour sa prononciation proche de "mort"
0h00: H-5 min
Miracle, on est à l'heure. Environ 1200 journalistes sont présents à NYC. En venant de Los Angeles, on se gèle, mais pour les parisiens, c'est assez standard avec -3°.
0h00: Bonsoir à tous
Si la 3G tient, nous allons essayer de vous faire vivre en direct ce grand soir de Sony.
Le chiffre pair portera-t-il chance à Sony? Alors que la Playstation 3 s'est deux fois moins bien vendue que la PS2, le constructeur japonais devrait dévoiler la relève ce mercredi soir à New York. 20 Minutes sera présent sur place pour vous faire vivre l'événement à partir de minuit (18h en local) ici et sur Twitter à @20Minutes et @ptiberry
Source : http://www.20minutes.fr/article/1104217/High-tech-EN-DIRECT-Playstation-4-Sony-va-d-voiler-sa-nouvele-console.php
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