logo

Idylive : n°1 de la rencontre
handi-valide

Idylive : n°1 de la rencontre handi-valide

Chargement



Inscrivez-vous GRATUITEMENT !

Inscrivez-vous GRATUITEMENT !

Choisir ma photo
Etape suivante

Votre annonce personnelle

Votre annonce personnelle sera plus attrayante si vous évitez le langage SMS et soignez l’orthographe. Les liens commerciaux, ou toute information permettant de vous identifier seront supprimés.

GO !
Rencontre handicap / Actualité du handicap

Rencontre Art, culture et handicap

2010-11-01 10:11:15.921





Une rencontre sur la prise en compte du handicap dans le secteur artistique et culturel est organisée par Arcadi, en partenariat avec l'association Cemaforre (Centre national de ressource pour l'accessibilité des loisirs et de la culture) et le CRTH (Centre Ressources Théâtre Handicap), le 5 novembre, à Paris.




Aujourd'hui, plus d'un français sur quatre souffre d'une incapacité, d'une limitation d'activité ou d'un handicap (enquête Handicaps, incapacités, dépendance, Insee 2002), proportion sans doute amenée à s'accroître du fait du vieillissement de la population. Les personnes en situation de handicap doivent pouvoir bénéficier de tous les droits fondamentaux. Le secteur artistique et culturel n'échappe pas à cette exigence éthique, déontologique et démocratique. Cependant l'accès à l'art et à la culture reste profondément inégalitaire. Ainsi en Île-de-France, malgré des avancées remarquables ces dernières années, « moins de 5 % des offres culturelles semblent présenter une accessibilité complète » (rapport de l'association Cemaforre paru en 2008).




Les questions qui se posent aux professionnels du secteur culturel et aux responsables des politiques publiques sont nombreuses et complexes. En s'appuyant sur l'expertise des organismes ressources et sur des retours d'expériences concrètes, cette rencontre se propose de mettre en débat ces questionnements et de dégager des pistes permettant d'imaginer la mise en œuvre d'actions et de politiques culturelles inclusives.








Article original sur ile-de-france.culture.gouv.fr


Retour sur Rencontre-Handicap

14e Trophée de l'innovation handicap

2010-10-29 12:38:17.187




Le trophée de l'innovation handicap MNH a été créé pour « développer la solidarité par l'exemple ».
Il valorise donc par l'exemple des actions reproductibles en d'autres lieux par d'autres personnes.




Ce concours met en lumière l'engagement des professionnels au sein des structures sanitaires et sociales des secteurs public ou privé dont les projets présentés témoignent de leur mobilisation dans l'intégration des personnes en situation de handicap.




Pour la 14e édition, le thème de l'emploi a été retenu.
3 catégories d'action seront primées :


  • La scolarité

  • L'emploi

  • La formation professionnelle





Solène Jambaqué, championne de ski alpin, médaillée d'or et d'argent aux jeux paralympiques (2006 et 2010) et Olivier de Lagarde, journaliste à France Info, sont les parrains de ce trophée.







Article original sur mnh.fr


Retour sur Rencontre-Handicap

Représentations handidanse : une rencontre entre la danse et des danseurs handicapés

2010-10-28 13:13:56.109




Créée en 1992 par Florence MEREGALLI, la compagnie TATOO évoluait par ses créations modern'jazz dans un travail plutôt traditionnel, comme bien d'autres compagnies. C'est en 1997 que la conception chorégraphique change lorsque Florence prend l'importante décision d'associer à son équipe une danseuse sourde et une danseuse paraplégique, donnant ainsi de nouvelles pistes de créativité à découvrir. Depuis 3 spectacles ont été créés : « Modus Vivendi » (1999), « La légende du corail rouge » (2003) et « Situations » (2007).




L'objectif est de mélanger artistiquement la langue des signes (LSF), des textes diffusés par une bande son, des fauteuils roulants et le travail « en aveugle » pour les danseurs voyants, tant dans une recherche de richesse chorégraphique et humaine que dans un souci de compréhension et d'intégration d'un plus large public.




L'exploration de l'utilisation des fauteuils roulants dans la chorégraphie, du développement des sensations pour les danseurs en aveugle et de l'intégration de la LSF à la gestuelle, ne niant ni les différences techniques des interprètes, ni les inégalités sensorielles et motrices mais en les rendant quasi indécelables.




Prenons nos différences et sublimons-les...




2009 est l'année du quatrième volet de danse intégrée de la Compagnie TATOO. « 2SF-Rétrospective » est un pas de 5 regroupant une danseuse sourde, une danseuse paraplégique et 3 danseurs valides. 2SF est un regard sur l'évolution chorégraphique de la Compagnie à travers ses différentes créations. Pièce sans prétention aucune, 2SF continue à avoir un regard satirique et humoristique sur l'exclusion, le recherche d'identité, la valorisation de la personne, la discrimination sexuelle et physique, pour pointer du doigt les travers de l'Humain par une mise en scène décapante et peu sérieuse. Mais blague à part, comme tous les Super-héros que nous admirons tant par leur particularité, prenons nos différences et sublimons-les...




Les représentations




6 Novembre 2010 au Théâtre de Poissy (78)
- 12 Novembre 2010 au Centre d'animation Mathis (75)
- 22 Janvier 2011 à l'Espace Charles Vanel de Lagny-sur-Marne (77)




Article original sur handicapinfos.com


Retour sur Rencontre-Handicap

Emploi des handicapés : rencontre avec Didier Roche autour du problème du handicap dans le monde du travail

2010-10-27 11:48:10.437




Didier Roche est un « serial entrepreneur ». Malgré sa déficience visuelle, il est la preuve que le handicap peut être surpassé. A partir de son expérience personnelle et du terrain, il évoque le problème du handicap dans le monde du travail et propose quelques pistes de réflexions pour mieux intégrer la différence en entreprise.




A l'initiative des restaurants « Dans le noir ? », créateur de la société Ethnik Event, président de l'UPTIH ( Union professionnelle des travailleurs indépendants handicapés),… Didier Roche a un parcours qui en ferait rêver plus d'un. Des idées plein la tête, il crée avec passion pour ne jamais s'ennuyer. Rencontre.





Comment sont considérés les travailleurs handicapés en 2010 ?




Même si les mentalités évoluent, les réticences sont toujours présentes. Les handicapés sont encore considérés comme des personnes incapables. Les gens le disent moins ouvertement mais quand ils voient arriver une personne handicapée dans leurs services, ils pensent qu'ils vont devoir se traîner un « boulet ». Malgré tout, on ne peut pas demander à une société de changer du jour au lendemain. Je ne suis pas un intégriste du handicap qui voudrait à tout prix que la différence soit acceptée mais j'aimerais qu'un jour, les personnes handicapés ne subissent plus d'humiliations.





L'emploi des handicapés est donc toujours difficile …




C'est mieux pour recruter qu'il y a quelques années, même si nous comptons encore 20 % de chômeurs en moyenne ( dont 73 % de mal ou non voyants). Aujourd'hui, les managers sont volontaires mais ils n'arrivent pas à passer du discours à la mise en pratique. Certains ne font tout simplement pas le pas. D'autres veulent trouver le candidat parfait dont le handicap ne serait pas problématique et qui aurait, en plus, toutes les compétences pour le poste proposé. Ils ne veulent pas employer un handicapé pour « employer un handicapé » et ils ont raison.





Le manque de formation des handicapés apparaît souvent comme un frein au recrutement…





Les handicapés n'ont en général par suivi les mêmes études que les valides. Peu de formations leur sont accessibles, notamment dans les grandes écoles, référence des entreprises. Néanmoins, ils ont acquis un savoir-faire en autodidactes et excellent dans leur domaine. C'est sur cela qu'il faut miser. Les entreprises doivent voir plus loin que le diplôme lors du recrutement. Il faut rationaliser les compétences pour répondre précisément aux objectifs, handicap ou pas. Un aveugle pourra difficilement être embauché pour faire de la mise en page. Par contre, il pourra mettre ses qualités de mémoire au service de l'entreprise.





Quelles sont les principales excuses formulées par les entreprises pour ne pas employer d'handicapés?




La méconnaissance du handicap laisse place à de nombreux clichés. Le manque de temps et d'accessibilité sont souvent formulés. Les employeurs pensent qu'il faudra s'occuper de ce nouveau salarié plus que les autres et que les aménagements seront coûteux. Ce n'est pas toujours vrai. Une personne handicapée n'a pas besoin d'être maternée. Une fois qu'elle est intégrée dans l'entreprise et qu'on lui a expliqué son travail, elle pourra se débrouiller seule. Quant aux éventuelles dépenses, elles sont prises en charge par l'Agefiph.





Qu'apporte un salarié handicapé dans une entreprise ?




Trouver un travail est un véritable chemin de croix pour une personne handicapée. Alors, lorsqu'elle finit par trouver un poste qui lui plaît, elle le montre et cela se ressent sur le reste de l'équipe. En plus de s'impliquer dans son travail, elle redynamise les équipes qui relativisent souvent leurs situations. Comment se plaindre du temps passé dans les transports quant à côté de soi une personne aveugle subit les mêmes contraintes, son handicap en plus !





Comprenez-vous le quota de 6 % de handicapés imposé aux entreprises ?




Je le trouve irréaliste. Il n'y a pas assez d'handicapés employables en France pour le respecter et en imposant de telles mesures, on n'obtient généralement pas ce que l'on veut. Cela donne une mauvaise image des handicapés qui sont vus comme une contrainte. Malheureusement sans ces quotas, rien ne serait fait.





Augmenter les cotisations à l'Agefiph vous semble alors rude pour l'entreprise ?




C'est une aberration. Nous sommes dans une période de crise, les patrons de TPE-PME ont déjà du mal à maintenir leur société en vie, à ne pas licencier et on leur demande en plus d'embaucher du personnel qui ne correspondra pas forcément à leurs besoins. S'ils refusent, ils devront payer une amende. Comment voulez-vous que cela ne crée pas d'aigreur chez les petites patrons qui se retrouvent parfois endettés.





Quelles solutions proposez-vous ?




Les PME ne peuvent pas forcément embaucher mais elles peuvent sous-traiter à des entrepreneurs handicapés en leur déléguant certaines tâches comme la comptabilité par exemple. Cela pourrait alors entrer en compte dans leurs cotisations Agefiph. Pour autant, je ne demande pas la suppression des cotisations qui représentent une manne financière nécessaire pour financer le combat des associations. Il faut trouver un juste milieu.





Vous mettez en avant le fait que les personnes handicapés ont toujours besoin de prouver leurs compétences, comme pour faire oublier leurs différences …




C'est une spirale infernale. La plupart des salariés handicapés feront tout pour que leur travail soit reconnu. Ils travailleront toujours plus, de peur que leur handicap soit un prétexte aux réflexions et devienne une barrière. Certains mettront alors de côté leur vie privée pour prouver à leur employeur qu'ils sont capables. Etre à un bon poste, c'est bien mais à quel prix !





Quels effets la crise a t-elle eu sur l'emploi des travailleurs handicapés ?




Les handicapés l'ont subi avec un décalage. On ne les licencie pas en premier mais on les emploie en dernier ! En effet, quand la productivité reprend, les managers souhaitent que la production soit à son maximum et se tournent d'abord vers les valides.







Article original sur lentreprise.com


Retour sur Rencontre-Handicap

Page précédente     Page(s) : 1 ... 150 - 151 - 152 - 153 - 154 - 155 - 156 - 157 - 158 - 159 - 160 ... 160    Page suivante