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Rencontre handicap / Actualité du handicap

Le bio, pas meilleur pour la santé ? - idylive -

2012-10-09 09:41:38.275

Depuis quelques jours, la presse relaye les conclusions d'une étude américaine menée par des chercheurs de l'université Stanford : les aliments biologiques n'auraient pas de bénéfices pour la santé... Daniel Tirat, Directeur Général de la marque de produits laitiers bio "Les 2 Vaches" a souhaité réagir à travers une tribune. ¤¤ Daniel Tirat, Directeur Général de la marque bio "Les deux vaches" (Groupe Danone)

"L'observation sur les êtres humains porte sur 2 ans maximum. Les chercheurs de Stanford l'admettent : il n'existe pas à ce jour d'étude à long terme évaluant le bénéfice d'un régime global à base de produits biologiques. Curieux en ce cas d'en tirer des conclusions contradictoires quelques pages plus loin !

Les chercheurs déclarent n'avoir pas reçu de fonds privés pour réaliser cette étude. Pour autant, l'industrie agroalimentaire finance généreusement d'autres programmes de recherche de l'université. Peut-on parler d'indépendance ? On ne mord pas la main qui nous nourrit, commeuh on dit chez nous...

Cette publication* intervient alors que les électeurs de Californie vont bientôt voter pour décider si la présence d'OGM doit être mentionnée sur les emballages de nourriture. Les défenseurs des OGM, qui ne semblent pas avoir intérêt à ce que les consommateurs sachent ce qu'ils mangent, auraient-ils tout intérêt à discréditer le bio ?

Les aliments biologiques ont donc la même composition que les aliments conventionnels. Mais, différence de taille, les produits bio sont produits sans l'aide des pesticides : ce n'est donc pas tant ce qu'il y a dans le bio qui nous fait du bien, que ce qu'il n'y a pas ! Or l'étude américaine ne s'intéresse pas à l'impact sur la santé de l'exposition aux pesticides...

Bonne surprise pourtant : nombre de conclusions de l'étude sont favorables aux produits bio, sur le plan nutritionnel toxicologique et microbien. Les médias ont eu une regrettable tendance à passer sous silence les résultats positifs pour se focaliser sur les points négatifs.

Regardons plus loin que le bout de notre museau : le bio promeut une agriculture plus respectueuse de l'environnement. Consommer bio, c'est être concerné par le bien-être animal, préserver la biodiversité, la qualité des sols et de l'eau. Ne cédons pas à l'écolo-scepticisme ambiant et aux campagnes de désinformation : avec Les 2 Vaches, en route vers un monde plus bio !"

Daniel Tirat



http://idylive.over-blog.com/article-le-bio-pas-meilleur-pour-la-sante---idylive--111043739.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

Une manifestation originale pour mieux comprendre le handicap - idylive -

2012-10-08 09:18:22.672


Jean-Pierre Lafont, Président de Handigolf, espère pérenniser et développer cet événement sportif. - Mallegol Florence

L es compétences des handicapés sur le green sont-elles transposables dans le monde du travail ? C'est en tout cas l'idée de l'association de Handigolf et du site de recrutement Hanploi.
Clubs dans les mains, casquettes vissées sur la tête, handigolfeurs et managers se sont rencontrés sur le parcours de dix-huit trous du golf de Rochefort-en-Yvelines. Pour Hanploi et Handigolf, les organisateurs de cette deuxième édition de Drives de l'insertion, l'objectif de vendredi était de sensibiliser les 54 managers présents à l'insertion professionnelle des personnes en situation de handicap physique.

Celles-ci ont ainsi prouvé qu'elles pouvaient être aussi compétentes au golf qu'au travail et qu'elles n'étaient pas un frein à la réussite du groupe malgré leur handicap visible comme un membre en moins, ou invisible comme des problèmes d'audition.

Ce n'était pas un forum de l'emploi
Elles ont été parfois victimes d'un AVC ou d'un accident de moto. Néanmoins, ce rendez-vous n'était pas un forum de l'emploi. Les handicapés, tous insérés dans la vie active, ne désiraient pas trouver un travail.

Le matin, les participants ont donc été répartis en dix-huit équipes de quatre, incluant toujours un handicapé et trois managers, venant de grands groupes comme le Crédit agricole, Atos, Thalès, IBM.

Ils se sont dépassés sur le parcours pendant quatre heures pour décrocher les trois prix mis en jeu. C'est d'ailleurs surtout les sujets sur le golf qui primaient dans leur conversation. Le handicap n'a été évoqué que lors de temps d'échanges, avant et après la compétition. Georges Benize, le maire de Rochefort-en-Yvelines et administrateur de Hanploi a estimé que ce rendez-vous était important car pour lui. « Les managers ne sont pas formés à travailler avec des handicapés. Pourtant cela fonctionne bien. Ils sont productifs. Les managers qui ont des handicapés dans leur équipe ont des bons résultats, il y a peu d'absentéisme. » Ainsi, Hanploi a formé entre autres des recruteurs afin qu'ils sachent mener un entretien d'embauche avec un handicapé.

Un des employés de Thalès a assuré que son employeur avait développé une politique dans ce sens.

Mais pour lui, ils sont bien intégrés dans son entreprise. Ils sont autonomes et les aménagements du bâtiment ont été conçus dans ce sens. Amundi embauche également des jeunes handicapés en alternance.

62.000 handicapés insérés dans le monde du travail
Les entreprises semblent donc désirer les intégrer dans leur société. Cette année, Hanploi a même inséré 62.000 handicapés dans le monde du travail. Mais cette volonté vient-elle d'un changement d'état d'esprit ou de l'obligation de quotas de handicapés dans les entreprises ?

« Si elles ne respectent pas ce quota, elles doivent payer une taxe. Parfois ils n'ont pas de locaux adaptés. Je suis dans ce cas. J'aimerais pouvoir en recruter mais mon ascenseur est trop petit pour une personne en fauteuil roulant », a expliqué Jean-Pierre Lafont, président de Handigolf, créateur d'une société embauchant 350 salariés et lui-même victime d'un AVC lorsqu'il avait 28 ans.

L'année passée, vingt-deux handigolfeurs s'étaient ainsi retrouvés dans le golf de Rochefort-en-Yvelines. Les organisateurs estiment que les Drives de l'Insertion participent au changement de regard sur le handicap. Ainsi les organisateurs désirent développer cet événement en province alors qu'à sa création il ne devait absolument pas se pérenniser.

http://idylive.over-blog.com/article-une-manifestation-originale-pour-mieux-comprendre-le-handicap---idylive--111003873.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

82% des internautes sont préoccupés par les médias sociaux - idylive -

2012-10-08 08:05:09.525

Une étude Faronics dévoile que 82% des internautes français sont préoccupés par le nombre d'informations personnelles partagées sur les réseaux sociaux. Une grande majorité de français sont inquiets de la sécurité de leurs informations personnelles en ligne malgré la configuration des paramètres de confidentialité.

Faronics, l'un des leaders mondiaux dans la simplification, la sécurisation et le management des environnements informatiques multi-utilisateurs, annonce lesrésultats de son étude sur la sécurité des réseaux sociaux. Mené auprès de 300 employés et particuliers Français, ce sondage révèle notamment que 74% des internautes pensent encourir un risque de fraude et de piratage plus grand dans le cadre de leurs activités sur les réseaux sociaux.

Après avoir étudié la question de la sécurité des données sur les réseaux sociaux en Grande-Bretagne, Faronics délivre les résultats de son étude en France :

84% des personnes interrogées ont personnalisé leurs paramètres de confidentialité Facebook pour limiter l'accès à leur profil. Sur LinkedIn en revanche, seulement 24% des personnes ont sécurisé leur contenu et 34% déclarent avoir un profil public sur ce réseau professionnel. 64% des utilisateurs Facebook et 47% des utilisateurs LinkedIn acceptent seulement les connections d'internautes qu'ils connaissent personnellement. En effet,74% des internautes pensent encourir un risque de fraude plus important avec leurs activités sur les réseaux sociaux. Parmi les réponses négatives, 24% des utilisateurs ne se sentent pas en danger grâce à la configuration stricte de leurs paramètres de confidentialité.

Cependant, malgré le réglage des paramètres de sécurité, certains internautes ont encore des comportements dangereux sur internet. En effet, 23% des personnes sondées seraient prêtes à ouvrir un lien ou un document envoyé par email ou via les réseaux sociaux s'il semble intéressant même si elles ne connaissent pas le destinataire.

De même, de nombreuses personnes seraient prêtes à donner les informations suivantes via email ou réseaux sociaux : leur adresse email (101 réponses), leur adresse professionnelle (68 réponses), leur numéro de téléphone (53 réponses), leur date de naissance (23 réponses) et leur adresse postale (15 réponses).

Ainsi, 33% des personnes interrogées ont déjà été victimes de « spear fishing » (piratage par message personnalisé en utilisant des sources privées) et de ce fait 82% des personnes sondées sont préoccupées par le nombre d'informations personnelles qu'elles partagent en ligne.

Les entreprises, quant à elles, peinent à mettre en place une politique contre le piratage des messageries professionnelles : 26% des personnes sondées doivent suivre des procédures de sécurité au sein de leur entreprise. 33% déclarent ne pas savoir si des mesures ont été adoptées et 26% ne suivent aucune mesure de prévention contre le piratage des boites mails et des réseaux sociaux.

Cette étude souligne donc les inquiétudes des internautes quant à la sécurité de leurs informations en ligne. Cela est dû dans un premier temps, à un manque de discipline des internautes dans leur partage d'informations au quotidien, car ils ne sont pas assez vigilants quant aux risques de fraude et de piratage auxquels ils peuvent être confrontés.

Dans un second temps, un manque de clarté dans les paramètres de confidentialité des réseaux sociaux est à déplorer ; un sujet d'autant plus d'actualité avec le récent scandale des publications de données personnelles stockées dans les messages privés Facebook sur la Timeline des individus. Cette histoire démontre, faille de sécurité ou non, un besoin de transparence et de simplification des paramètres de confidentialité afin que les utilisateurs puissent partager leurs informations personnelles à un cercle choisi.

http://idylive.over-blog.com/article-82-des-internautes-sont-preoccupes-par-les-medias-sociaux---idylive--111000915.html

Les résultats complets de l'étude sur la sécurité des réseaux sociaux sont disponibles ici.Retour sur Rencontre-Handicap

Un chat fluorescent pour aider à combattre le VIH - idylive -

2012-10-07 04:27:06.114

Des chatons fluorescents, génétiquement modifiés, viennent de naître en laboratoire. Cette aberration chromatique prouve pourtant la réussite d'un projet important : l'enrayement de la transmission du virus du Sida chez les chats et pourquoi pas, plus tard, chez les hommes.

Eric Poeschla, virologue moléculaire à la clinique Mayo de Rochester (États-Unis), et ses collègues ont infecté des gènes étrangers à l'intérieur d'ovules félins. Ils ont ainsi mis au monde des chats transgéniques, à la fourrure fluorescente. Une méthode qui fonctionne pour la première fois sur un carnivore. Dans quel but ?
Plus qu'un effet de style, il s'agit d'enrayer le processus de transmission du virus du Sida chez le chat. Un virus qui tue chaque année des millions de félins.
Il existe deux types distincts de virus du Sida : le VIH qui touche les primates – singes et hommes – et le virus immunodéficience félin (VIF), qui tue en masse les chats et de plus gros félins comme les lions. La génétique des deux virus est suffisamment différente pour que le VIF ne se transmette pas aux hommes et que le VIH ne contamine pas les chats.
La protéine primate TRIMCyp, par conséquent déficiente chez les chats, protège les humains et les singes du VIF. Mais insérée chez le chat, cette protéine serait-elle capable de reconnaître et cibler les cellules porteuses du virus VIF ?
Le tour de passe-passe de Poeschla et ses collègues consiste à utiliser un virus comme coursier : le virus, porteur du gène TRIMCyp, mènera le gène jusqu'à l'intérieur d'un ovule de chat. Ce procédé a déjà fonctionné lors de transfert génétique sur des souris ou des vaches, mais avait toujours échoué lorsqu'il s'agissait de carnivores.
Les cellules du VIH et du VIF peuvent aisément être infectée, car leur période d'incubation est longue. Dés lors, les chercheurs ont créé un lentivirus porteur du gène TRIMCyp et d'un gène comportant la protéine fluorescente, qui s'infiltrera dans les ovules des chattes. Une combinaison qui permettra au scientifique de quantifier la réussite du projet. Si les chats à naître scintillent d'un vert luminescent, cela signifiera qu'ils sont porteurs du nouveau matériel génétique. L'équipe a ainsi fertilisé vingt-deux chattes, qui ont chacune reçu 30 à 50 ovules introduits directement dans leurs trompes de fallopes.
Cinq tombèrent enceintes. Onze embryons se formèrent, mais dix seulement portaient la marque des nouveaux gènes, rapporte aujourd'hui le journal Nature Methods. Aujourd'hui, seuls trois de ces chatons génétiquement modifiés sont toujours en vie. Soit un taux de réussite de 23%. “La méthode du transfert par virus possède une gros avantage : l'efficacité, explique Poeschla. Presque l'ensemble de la progéniture est transgénique, donc vous n'avez pas à dépister une centaine d'animaux avant de détecter les porteurs des nouveaux gènes.”
Reste à tester la résistance de ces chats de laboratoire au VIF. “Cette recherche biomédicale peut bénéficier à la fois aux chats et aux primates, donc aux humains,” déclare Eric Poeschla.
Grâce à cette technique, d'autres protéines antivirales primates pourraient être tester sur le chat et participer au ralentissement, voire à l'anéantissement, du VIF. L'organisme du chat servirait à explorer d'autres questions biologiques. Le cortex visuel de son cerveau, par exemple, serait un modèle plus proche du cerveau humain que celui de la souris.
“Les chats deviendront un outil scientifique plus facile à utiliser maintenant que l'on peut en modifier le génome, précise Susan VandeWoude de l'université de l'État du Colorado, à Fort Collins. Mais ils ne remplaceront pas la souris”.
Souris et chats seront, pour une fois, logés à la même enseigne.
Marie Dias-Alves
Sources : Science, Newscientist, Physorg, Live Science
Photo : MayoClinic

http://idylive.over-blog.com/article-un-chat-fluorescent-pour-aider-a-combattre-le-vih---idylive--110957060.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

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