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Rencontre handicap / Actualité du handicap

Psoriasis: Un bus sillonne la France pour vous réconcilier avec les «handicapés de peau» - idylive -

2012-10-05 17:28:47.205


Capture d'écran du site fidupso.fr avant le départ du bus contre le psoriasis, le 6 octobre 2012. 20 MINUTES

SANTÉ - La maladie n'est pas contagieuse, mais les malades souffrent d'un rejet de leur entourage...

Une maladie honteuse. Près de 83% des 2 millions de Français atteints de psoriasis cachent leur maladie et plus d'un quart affirment avoir remarqué que leur entourage évite de les toucher. «Ne laissons pas le psoriasis s'installer entre nous», propose l'Association pour la lutte contre le psoriasis (APLCP), dont le bus démarre samedi une tournée française d'une semaine.

Ces plaques rouges qui démangent puis qui sèchent et deviennent blanches, vous les avez sans doute déjà vues sur les coudes ou les genoux de certaines de vos connaissances. Peut-être avez-vous eu ce mouvement de recul, ce reflexe de rejet? Le psoriasis, pourtant, n'est pas contagieux, et c'est l'un des messages que tentera de faire passer le bus de l'APLCP.

Handicap social

«Le psoriasis génère un véritable handicap social chez les personnes qui en sont atteintes», précisent les organisateurs de l'opération. Une pétition réclamant «la reconnaissance du handicap de peau pour les patients psoriasiques» est même disponible en ligne.

Avant le départ, le véhicule stationnera samedi au 35 de la rue de Sèvres à Paris. Il filera ensuite vers Marseille puis Toulouse et Bordeaux et distillera les conseils gratuits de professionnels de santé, ainsi que des «happenings artistiques autour du toucher» et organisera rencontres entre patients.

Julien Ménielle


http://idylive.over-blog.com/article-psoriasis-un-bus-sillonne-la-france-pour-vous-reconcilier-avec-les-handicapes-de-peau---idylive--110913547.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

Facebook scanne les messages privés pour comptabiliser les «like» - idylive -

2012-10-05 08:35:13.727

WEB - Le réseau l'a confirmé mais précise que le monitoring est fait par une machine, de manière anonyme...

Les semaines passent et se ressemblent pour Facebook. Jeudi, alors que le réseau a fêté la barre du milliard d'utilisateurs actifs, il a dû clarifier une pratique qui flirte avec la ligne jaune de la vie privée, sans véritablement la franchir.

Il y a deux jours, la startup polonaise Killswitch.me a posté une vidéo sur le site HackerNews montrant un phénomène étrange: envoyer l'adresse d'un site à un ami par message privé augmente de deux le nombre de «like» de ce lien.

Jeudi, Facebook a finalement livré cette explication au site The Next Web: «Nous avons récemment trouvé un bug dans nos plugins sociaux. Parfois le compte du nombre de partages et de likes augmente de +2. Nous sommes en train de corriger le problème. Pour être clair, cela affecte simplement les plugins en dehors de Facebook et pas les Pages officielles sur le réseau».

Outils d'analytique

Perdus? Voici la traduction pour le commun des mortels. Un site peut greffer des bouts de Facebook à son code. Cela lui permet de mesurer certaines activités des visiteurs. Ces boutons («like», «recommander», «articles lus par vos amis» etc) sont indépendant des Pages Facebook officielles (comme celle de 20 Minutes), elles, destinées aux «fans» d'un site ou d'une marque.

Facebook fournit par ailleurs aux administrateurs des outils d'analytique affichant un compteur du nombre de «likes». Le bug, ce n'est pas que les messages privés soient surveillés mais que les liens envoyés ajoutent deux likes au lieu d'un seul.

Des messages passés au crible

Ce qui dérange, ce n'est pas que les messages soient analysés. Google fait pareil avec Gmail pour afficher des pubs pertinentes en repérant des mots clés. On savait encore que Facebook, comme de nombreux réseaux sociaux, disposent d'outils pour repérer des activités criminelles, notamment afin de lutter contre la pédophilie. Ce monitoring est réalisé par des algorithmes automatisés sans intervention humaine (sauf quand il s'agit de prévenir les forces de l'ordre).

Mais ce qui gêne dans cette affaire, c'est que Facebook analyse des liens partagés dans des messages privés pour un impact public. Il est, certes, anonyme, mais absolument sans pertinence. On peut échanger un lien en disant «c'est le pire site que j'aie jamais vu», et Facebook va malgré tout compter «like+1».

La page destinée aux développeurs l'explique bien: «le chiffre montré sur le bouton like est la somme:

du nombre de likes de l'adresse
du nombre de partages de l'adresse, notamment des copiés/collés du lien sur Facebook
du nombre de likes et de commentaires sur des articles publiés sur Facebook concernant cette adresse
du nombre de messages privés contenant cette URL en pièce jointe.»
Par cette définition, le terme «like» (aimer) est plutôt mal choisi. Au final, Facebook mesure surtout la quantité de bruit.

http://idylive.over-blog.com/article-facebook-scanne-les-messages-prives-pour-comptabiliser-les-like---idylive--110895482.html

Philippe BerryRetour sur Rencontre-Handicap

Quelques conseils vestimentaires aux policiers municipaux - idylive -

2012-10-04 09:06:06.298




Des policiers municipaux à Nice, en juin 2011 (SEBASTIEN NOGIER/AFP)
Je vois le tableau d'avance, vous allez râler. « Et gnagnagna, c'est anecdotique », « et gnagnagna parlez un peu du fond ». Minute, papillon.

Deux sénateurs ont rendu un rapport sur les polices municipales ce mercredi. Il fait le point sur leurs missions et propose des pistes de réforme. C'est très intéressant mais un poil austère. Ça parle de prévention, de missions de tranquillité publique, d'offre de sécurité. Des articles parus ailleurs résument très bien le contenu du rapport et les enjeux.

Cependant, dans les recoins du rapport, se cache une proposition amusante et joyeuse. Pour éviter toute confusion avec la police nationale, les sénateurs proposent un nouveau look aux policiers municipaux. Pour l'instant, leur tenue se rapprocherait trop de leurs grands frères nationaux.

Poésie réglementaire


Des policier municipaux à Toulouse, en janvier 2006 (GEORGES GOBET/AFP)
Le décret du 30 janvier 2004 réglemente l'uniforme des policiers municipaux, avant tout pour éviter la confusion avec celui des forces régaliennes de sécurité sur tout le territoire. Il est précis et un peu poétique :

« La couleur des tenues des agents de police municipale est à dominante bleu foncé, ponctuée d'éléments de couleur bleu ciel ou bleu gitane. »

Un peu plus loin, il est question des tenues d'honneur, des écussons, des insignes, ces petits riens qui font le style du policier municipal.

L'annexe détaille les couleurs, dimensions et emplacements de tous les éléments de l'uniforme, jusqu'à la couleur des chaussettes et les passepoils du pantalon :

« Pantalon de couleur bleu foncé, du modèle “ ville ” ou “ ample adapté ”, avec un passepoil vertical de couleur bleu gitane le long de chacune des deux jambes. Il peut être prévu que les agents de sexe féminin portent une jupe de couleur bleu foncé avec le même passepoil. »

D'après une source bien informée, un passepoil « est un cordon entouré de tissu destiné à border un ouvrage comme un coussin. Il permet de souligner des bords et des coutures ».

Question d'incrustations

Les vénérables rapporteurs René Vandierendonck (PS) et François Pillet (UMP) ont pourtant observé, sur le terrain, que le passepoil ne suffit pas.

Malgré la minutie du décret, trop de citoyens prennent des vessies pour des lanternes, et des municipaux pour des nationaux. Les sénateurs mettent en cause « la similarité des uniformes, des équipements et des sérigraphies des véhicules » :

« Souvent, seule une observation attentive permet, à la lecture des inscriptions figurant sur les uniformes, de distinguer le bleu de la police nationale de celui des polices municipales. »

Et quand la police arrive, on n'a pas toujours le temps de lire.


Des policiers nationaux du Xe arrondissement de Paris, en février 2009 (Audrey Cerdan/Rue89)
Outre l'aspect esthétique, la ressemblance des uniformes introduirait une confusion entre les missions des différentes forces de police, devenant illisibles :

« La question doit être reposée car elle commande, dans l'esprit du citoyen, la distinction des différentes fonctions, gage de clarification des responsabilités respectives de l'Etat et des collectivités territoriales.

A cette fin, sans opérer de bouleversement considérable et pour ne pas engager les collectivités territoriales dans des dépenses coûteuses, ne suffirait-il pas, en conservant le bleu de la tenue, d'y porter des incrustations d'une couleur différente ? »

On attend vos propositions.


http://idylive.over-blog.com/article-quelques-conseils-vestimentaires-aux-policiers-municipaux---idylive--110859467.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

idylive : Bref. On arrête « bref. »

2012-10-03 22:04:19.291




Cette année aura été complètement folle pour nous. Bref. est et restera une des plus belles choses qui nous soient arrivées.
Et toutes les bonnes choses ont une fin.

Cette saison 1 qui s'achève s'est faite en trois fois. Trois sessions.

Une première session de 40 épisodes, pendant laquelle nous avons posé les bases de ce que serait notre série, présenté les personnages, inventé les codes et raconté l'histoire de ce héros que beaucoup ont présenté comme un loser et que nous trouvons simplement normal..
Nous voulions lui faire grimper une côte, à ce personnage. Le faire courir après cette fille, puis arriver au sommet à la fin de la session.

Quand s'est posée la question de faire une deuxième session, nous avons réfléchi. Beaucoup. Nous nous sommes dit que nous ne pouvions pas le laisser là-haut, qu'il allait falloir le faire redescendre, dévaler la pente, se casser un peu la gueule. D'un autre côté, nous avions peur de – déjà – nous ennuyer et donc, de vous ennuyer. Finalement, nous avons trouvé suffisamment d'idées qui nous faisaient marrer pour se lancer dans 40 nouveaux épisodes.

Et puis s'est posée la question d'une troisième session et nous avons décidé de la faire courte – deux petits épisodes – et de refermer. Bref..

The end.

Notre leitmotiv depuis le début était de surprendre, vous comme nous et nous avons maintenant le sentiment, l'intime conviction que le dessin est fini et qu'il serait dommage de colorier la table.

Nous avons grandi avec ces séries américaines qui bien souvent faisaient la saison de trop, et nous ne voulions pas tomber dans ce piège que nous sentions venir.

Merci.

Nous avons eu la chance de travailler dans des conditions extrêmement rares à la télévision, nous avons eu une totale liberté artistique et une véritable écoute en production dont Canal + et Le Grand Journal ont été les garants pendant toute cette année. Leur confiance aura été la plus saine des pressions.
Merci à eux d'avoir cru en nous depuis les premières minutes jusqu'à ces derniers épisodes.

Et maintenant ?

La série finira le 12 juillet lors d'une émission spéciale Bref. du Grand Journal où les deux derniers épisodes seront diffusés.
Nous avons pensé les 82 épisodes de Bref.. pour qu'ils soient visionnables plusieurs fois, certains spectateurs passent des heures à fouiller dans les images et à faire des recoupements, nous espérons que cela permettra à la série d'avoir une deuxième vie entre vos mains, maintenant qu'elle est complète.

On se revoit quand ?

Ce site commence là où la série s'arrête justement pour vous tenir au courant de ce qu'il va se passer après Bref., à propos de Bref.., dans les prochains mois. Nous avons plein de nouvelles idées, plein de projets et nous espérons que vous en entendrez parler le moment venu. Ce n'est pas parce qu'un dessin est fini qu'on ne va pas sortir de nouvelles feuilles !

Pour terminer, merci à tous ceux qui nous ont soutenus, qui ont parlé de la série autour d'eux, cette oeuvre est une des oeuvres les plus proches de ce que nous sommes et c'est grâce à vous que nous avons pu l'emmener exactement là où nous le voulions.

Bref. Merci !

Kyan Khojandi, Bruno Muschio et Harry Tordjman.

via : http://www.breflaserie.com

Source : http://idylive.over-blog.com/article-idylive-bref-on-arrete-bref-110848799.htmlRetour sur Rencontre-Handicap

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